La Belgique a aussi son prêtre adepte de la TCI.

Théologien, docteur en philosophie, prêtre, écrivain, Jean Martin est enthousiasmé lui aussi par les signes de l’Au-delà. Il transcommunique, rassemble des signes depuis de longues années et réconforte par ses écrits ou son contact avec les personnes endeuillées.

Extrait de « Des signes par milliers « , un de ses ouvrages.

Ces  » brèches  » qui laissent passer la lumière sont toujours des faits individuels, gratuits, inattendus, impossibles à répéter…mais ils sont très nombreux ! .

Il affirme haut et fort que la mort n’est qu’un passage. Extrait du même ouvrage :

Voici à peu près ce que je dis aux enfants, en me mettant à l’école d’ E.K.R. (Elisabeth Kubbler Ross)
Je vais t’expliquer une chose qu’on n’explique pas souvent aux enfants parce qu’on la dit compliquée. Pourtant, elle est simple et profonde. Demande d’abord à papa et maman de te donner un livre sur les papillons. Tu verras qu’avant d’être joli et paré de toutes les couleurs, le papillon était une petite chenille. Il rampait par terre et ne voyait pas grand-chose d’autre que les herbes du jardin. Un jour, cette chenille est entrée dans une enveloppe qu’on appelle un cocon. Tout le monde disait que la chenille était morte. En réalité, elle était en train de changer. Un jour, on a vu deux ailes sortir du cocon et se déplier en très peu de temps. Quelques minutes encore et le joli papillon commençait à s’ébrouer puis à s’envoler: Un être nouveau était né.

Ecoute-moi bien à présent : c’est la même chose qui se passe en nous lorsque survient ce qu’on appelle la mort physique.

Le cocon c’est notre corps humain passager. Il n’est pas identique à nous : lorsque le cocon est endommagé gravement, à la suite d’une maladie qu’on dit mortelle, il libère le papillon c’est à dire notre âme. Le médecin dit qu’on ne respire plus, que le coeur ne bat plus, que le cerveau n’émet plus aucune onde.

A ce moment là, le cocon ne fonctionne plus et le papillon est déjà à l’extérieur. Pour lui, une existence nouvelle commence : une existence dans laquelle le temps n’existe plus, ni l’espace, ni la distance. C’est ce qui explique que l’âme puisse rejoindre à la seconde près tous ceux qu’elle continue d’aimer. Bien sûr, nous autres, nous ne pouvons pas percevoir cette âme parce que ses vibrations sont très hautes, plus hautes que celles de la matière. Mais l’âme libérée peut encore capter les longueurs d’onde de la terre et s’approcher de chacun d’entre nous.

Au fond, tu vois, c’est la même chose qu’un sifflet pour chien. Tu siffles et tu n’entends rien mais le chien, lui, entend. Nos oreilles ne sont  pas faites pour les hautes fréquences. Ça ne veut pas dire que les hautes fréquences n’existent pas!

Dans l’ avant propos du même livre, François Brune dit de lui :

Jean Martin, a été ordonné prêtre en 1961. Il a toujours souhaité se mettre au service des plus simples et des plus pauvres.

Cependant, son Évêque ayant remarqué ses qualités intellectuelles, il lui fut demandé de poursuivre des études de philosophie.

Son ministère a donc toujours oscillé un peu entre ces deux tendances. Catéchèse auprès des enfants, visites de malades, mais aussi enseignement dans les séminaires et les centres de formation pour les futurs professeurs de religion. (…)

Enfin un prêtre ose parler de ces communications avec l’au-delà! Enfin un prêtre ose reconnaître qu’il s’y intéresse depuis longtemps et qu’il en a même une certaine pratique! (…)

Voici donc, pour la première fois dans notre langue, le témoignage d’un prêtre qui a le courage de dire l’aide affective et surtout spirituelle qu’il a retirée de ce genre de contacts avec les  » morts « .

Il le fait sans préjugés, mais aussi sans aveuglement. Il reconnaît parfaitement les innombrables pièges que l’on peut rencontrer dans ce genre de recherches, les exploitations possibles, les illusions et les désillusions.

Il sait que certaines volontés malignes sont à l’affût dans l’au-delà, prêtes à profiter de nos moindres failles pour prendre le contrôle sur notre volonté. Mais il sait aussi ce que ces contacts lui ont apporté, à lui, personnellement. Il n’était pourtant pas de ces prêtres qui ne savent plus très bien qui croire parmi tous nos théologiens et si quelque chose de nous survit vraiment après notre mort. C’était un homme de foi. Et cependant, une fois lui-même dans l’épreuve, face à la  » disparition » de ceux qu’il aimait, il a connu et reconnu le soutien que peuvent apporter ces contacts avec l’au-delà. (…)

J’ai beaucoup aimé aussi dans cet ouvrage la place faite à l’âme et à la survie des animaux.
Et si, aujourd’hui, les écologistes nous invitent de façon pressante à les protéger, c’est plus par souci de préserver les richesses de notre planète, au niveau de chaque espèce, que par véritable amour de chacun d’entre eux en raison de son destin devant Dieu. (…)

Extraits de la préface rédigée par Monique Simonet, la grande dame française de la TCI, pour le même ouvrage.

(…) me permettre de l’apprécier par sa bonté, sa simplicité, son intégrité, qualités intrinsèques, auxquelles s’ajoute une solide érudition et une Foi sans faille bien digne du prêtre qu’il est, Jean Martin fait partie de ces hommes qui peuvent aider les autres dans le monde si dur où nous vivons en cette fin de millénaire.

(…) Quelqu’un qui s’occupe avec amour de catéchèse des enfants, (…) mais aussi quelqu’un qui visite les malades chaque fois qu’il le peut et au moins chaque semaine…qui également aime et  protège les animaux, dont il est sûr qu’ils ont une âme…

Enfin, quelqu’un qui sait  » voir » les signes très nombreux prouvant la survivance après ce que nous appelons la mort :  » Des signes par milliers « , nous dit-il…

La transcommunication Instrumentale ne l’a d’ailleurs pas étonné; et il a étudié cette forme nouvelle de communication avec les trépassés avec une grande ouverture d’esprit, en tirant des conclusions très positives, tout en distinguant les limites et les dangers, ainsi que je l’ai souligné du reste personnellement dans chacun de mes livres.

Tout en demeurant sous la Lumière des Evangiles, l’auteur se penche également, avec beaucoup de sagesse et de lucidité, sur les interrogations parfois brûlantes que se posent actuellement les hommes et les femmes de notre planète, comme, bien sûr et je viens d’en parler, les expériences aux frontières de la Mort, les apparitions, les forces négatives, l’âme des animaux, la puissance de la prière, de la Foi, le discernement des esprits dans la communication avec l’Au-delà, la question de l’idée de réincarnation, etc…

Extrait de son livre :

Dans nos vies aussi, me semble-t-il, il y a des moments où l’on peut discerner  » ce qui est important, ce qui est essentiel…et ce qui ne l’est pas vraiment ».
Cet essentiel, pour moi, il n’est pas fait de belles phrases ni de savants discours : il est fait, d’abord et avant tout, de ces gestes très simples et très humbles qu’on appelle la bonté.

Que voilà une phrase qui caractérise bien Jean !

Heureuse et très longue vie à lui !