Nous souhaitons vous faire part de cette interview qui nous a semble intérressante.

Propos recueillis par Jean-Michel Grandsire dans sa revue Parasciences.

“Dans le précédent Parasciences, Éric Giverne nous a expliqué sa technique pour obtenir des photographies de l’invisible.

Dans ce second volet, il nous dévoile, sous forme d’interview, un nouveau pan de sa personnalité, toujours en rapport avec le monde invisible car, il nous l’a longuement expliqué, il est un « passeur d’âme ».”

J.-M Grandsire: Ainsi donc, vous êtes un « passeur d’âme »…

Éric Giverne: Des médiums que j’ai rencontrés m’ont dit à plusieurs reprises que j’étais prédestiné à devenir un « passeur d’âme ».

Au début, cela m’a bien sûr intrigué et puis, peu à peu, j’ai intégré l’information. L’expérience aidant, j’ai fini par admettre le fait.

JMG:Mais c’est quoi au juste un « passeur d’âme»? Un bourreau? Un prêtre sans soutane?

É. G.: Dans les faits, j’aide à passer les âmes la nuit.

Passeur d’âme, c’est une activité qui consiste à «nettoyer » les habitations des défunts qui s’y accrochent. En somme, j’aide ceux qui refusent de quitter ce bas monde à accéder à la Lumière.

Beaucoup de maisons sont ainsi occupées, en plus de leurs propriétaires bien vivants, et les gens qui ont une sensibilité médiumnique savent reconnaître leur présence invisible. Ils ressentent les choses. C’est une ouverture d’esprit et cela se passe au niveau du chakra coronal, le troisième œil.

Plus un médium a « l’esprit » ouvert, plus il voit de choses et il y a autant de formes de médiumnité qu’il y a de médiums.

Un jour un médium m’a demandé de faire ce travail de passeur d’âme et je m’y suis mis.

JMG:Je suppose qu’il s’agit essentiellement de vieilles demeures?

É. G.: Pas toujours. Des maisons en construction peuvent être « occupées », comme bien entendu des demeures vieilles de plusieurs siècles. Tout dépend de ce qui s’est passé sur le lieu.

Récemment, j’ai dégagé près de Gourdon, dans le Lot, une maison bâtie il n’y a pas cinq ans. Le propriétaire s’y sentait mal. J’y suis allé.

L’atmosphère était effectivement étrange. En discutant avec le propriétaire, j’ai appris que juste à côté de la maison il y avait un puits et que la maison avait été construite sur un ancien bois qui a été rasé pour en permettre la construction.

À l’évocation du puits, j’ai eu la visiond’une femme habillée à la façon du début du XXème siècle. Et puis tout est arrivé dans ma tête: la femme a été tuée et jetée dans le puits. Elle était restée sur le lieu, totalement inconsciente d’être passée de l’autre côté du voile. Je l’ai aidée à partir et depuis tout va beaucoup mieux pour les habitants de la maison.

JMG: C’est étrange que l’on puisse passer aussi longtemps sans prendre conscience que l’on n’est plus sur notre plan d’existence!

É. G.: Certes, mais c’est une réalité que j’ai constatée à de nombreuses reprises. Précisons que la notion de temps n’est pas la même pour nous que pour ceux qui sont sur cet autre plan. Certains y restent des siècles mais ils n’ont pas la même perception que nous du temps qui passe. Heureusement.

JMG: Mais à quoi occupent- ils leur temps?

É. G.: Certains tournent en boucle, d’autres continuent à vivre comme s’ils étaient toujours de ce monde. Certains sont conscients d’être morts, ils s’accrochent.
D’autres l’ignorent totalement.

JMG: Concrètement, comment les choses se sont-elles passées pour cette femme qui hantait les lieux?

É. G.: Je suis entré en contact médiumnique avec elle et lui ai expliqué comment faire pour accéder à la Lumière.

Par la pensée, j’ai créé un vortex de lumière, comme un cylindre qui englobait toute la propriété, et puis j’ai engagé l’âme en errance à passer à l’intérieur.

JMG: Ces entités en errance sont seules?

É. G.: Rarement. Il arrive que des centaines de défunts s’accrochent à un lieu.

Dans ce cas, pour les aider, le procédé est le même, tout au moins pour moi: je crée ce vortex, je les contacte et je les vois partir. C’est impressionnant.

Il faut bien entendu demander l’aide des êtres de lumière ou d’autres défunts qu’ils ont connus sur terre et qui sont appelés à les aider.

JMG: Mais justement, ces défunts passés dans la Lumière, tous ces êtres évolués pourraient faire quelque chose! Ce serait plutôt à eux de faire le travail, pas aux incarnés. Cela relève de la non-assistance à défunts en danger!

É.G.: Non, parce qu’ils n’ont pas l’accès. Ce qui empêche le contact, c’est l’état d’esprit de celui qui reste accroché à la matière. Ceux qui vont dans ce qu’on appelle le bas astral y vont de leur plein gré, à cause de leurs actes, de leurs croyances et de leur état mental.

Il n’y a personne qui les y pousse.

C’est comme ici- bas les gens qui ne veulent rien entendre- nous en connaissons tous – et qui restent enfermés dans leur monde intérieur sans qu’on puisse les en sortir.

Il y a aussi des blocages qui viennent de traumatismes subis dans des vies antérieures.

Dans un état d’hypnose légère que j’induis par une magnétisation, j’aide les gens à remonter à la source de leurs souffrances pour débloquer une situation ou un trouble physique.

Ceux qui stagnent dans le bas astral sont dans un état d’esprit qui crée leur propre malheur.

JMG: Certes, mais cette femme assassinée n’y était pour rien. C’était une victime …

É. G.: Bien sûr.
Il faut préciser qu’elle n’était pas dans le bas astral. Elle se trouvait dans un plan intermédiaire, inconsciente de sa situation.

Quelqu’un qui ne croit en rien, qui meurt brutalement et qui est attaché aux biens matériels n’a qu’une issue: rester dans son univers coutumier. Et c’est fréquent. J’ai aidé à passer il y a peu une âme qui était dans cette situation.

Des gens venaient d’acquérir une maison construite vers 1960. Pendant la première nuit qu’ils y ont passée, ils ont vu tout bouger autour d’eux.

J’y suis allé très vite car ils étaient obligés de dormir à l’hôtel. En fait le lieu était occupé par les anciens propriétaires qui ne supportaient pas de voir leur maison occupée par des étrangers.

Ces gens n’étaient pas dans le bas astral: ils étaient là, parmi nous, dans leur maison.

Vous avez aussi des gens qui stagnent dans le bas astral parce qu’ils baignaient, de leur vivant, dans un uni- vers mental sombre. Beaucoup de dépressifs et de suicidés sont dans ce cas.

JMG: Comment vous décrivent-ils ce monde?

É. G.: Toujours de la même façon: comme un univers sombre, sale, noir, un monde rempli de bouches d’égout. Un endroit où il ne fait pas bon vivre.

JMG: Si je vous comprends bien, on part avec son système de croyance.

É. G.: On part dans l’état où on se trouve. Il est donc important d’être bien préparé car on crée son au-delà en fonction de sa mentalité. Les âmes restent en errance jusqu’à ce qu’elles comprennent qu’au-delà de l’univers sombre dans lequel elles stagnent, il ya un petit rayon de Lumière, à peine perceptible, qui ne demande qu’à les éclairer.

Et au fur et à mesure qu’ils vont s’ouvrir mentalement, la Lumière va devenir de plus en plus visible, s’ouvrir à leurs prières pour finalement leur permettre d’accéder à un autre état.

JMG: Le passage dans l’au- delà n’est donc pas un long fleuve tranquille.

É. G.: Cela dépend car chacun a son histoire. C’est au cas par cas.

JMG: Vous avez des contacts avec des défunts?

É. G.: Il n’y a pas de contacts tels qu’onles conçoit ici-bas. Je ne parle pas avec eux mais je les ressens. C’est différent.

Certains communiquent par l’écriture automatique mais je ne procède pas comme cela.

Quand j’arrive sur un site « chargé », je me mets d’abord en relation avec une âme qui est en adéquation avec moi. N’importe qui ne peut pas entrer en relation avec n’importe qui. C’est donc relativement facile quand le lieu est occupé par un grand nombre d’âmes.

Il y en a toujours une qui se montrera proche de vous.

La chaine M6 est venue faire un reportage sur moi il y a peu.

Nous sommes allés dans une école située dans un village de L’Aveyron où s’étaient passées des atrocités durant la guerre.

J’y suis entré en contact avec l’âme d’une petitefille restée là avec beaucoup d’autres âmes.

J’ai créé un vortex qui les a aidées à retrouver le chemin de la Lumière.

JMG: Vous pratiquez toujours seul?

É. G.: Non, quand je me rends dans un lieu, j’invite les actuels propriétaires à se joindre à moi pour créer le vortex libérateur. Il est important que tout le monde participe à la libération d’un lieu.

JMG: Et vous vous déplacez dans toute la France?

É. G.: En général, je me déplace dans un rayon d’une centaine de kilomètres.
J’essaie aussi d’agir à distance mais j’en suis aux essais et j’ignore encore si cela fonctionne ou pas. Pourcela, je travaille différemment, sur photo et sur une durée de deux ou troisjours. Si ça marche, je vous le communiquerai.

Le passage de la vie terrestre à la vie spirituelle.

Voici ce qu’il faut savoir et intégrer pour soi avant de mourir, ou pour aider un être qui vient de décéder, pour faciliter le passage vers la Lumière:

Suite au décès d’une personne, il est essentiel de lui parler avec foi et amour, dans un endroit calme et serein, à voix basse ou en pensée.

Lui tenir les propos suivants pour qu’elle puisse couper les liens avec sa vie terrestre, ce qui lui permettra d’atteindre la Lumière plus aisément, en fonction, bien évidemment, de son état d’être:

« Tu viens de nous quitter, tu te trouves actuellement entre deux mondes, tu ne peux plus rien changer ni régler.

Dans l’immédiat, élève-toi vers la Lumière en pensant aux personnes décédées que tu as aimées. Le passage dans la lumière sera plus rapide et plus facile avec leur participation, une fois que tu auras intégré la Lumière, ce monde où règne l’amour et que tu auras fait le point sur ta dernière vie terrestre avec tes amis décédés, ta famille d’âmes, le tout supervisé par des entités élevées.

Là, tu pourras choisir d’aider, de guider les personnes aimées que tu as quittées sur Terre, et les retrouver quand tu le voudras ou bien quand elles te le demanderont, et cela à la vitesse de la pensée.

Ensuite, tu pourras décider d’une nouvelle incarnation sur terre ou ailleurs, sur des plans plus élevés, cela dépendra de l’élévation spirituelle que tu auras atteinte lors de ta dernière incarnation sur Terre, qui est une planète d’apprentissage, de défi, d’épreuves et de souffrance pour beaucoup, mais aussi d’amour, de joie et de bonheur pour d’autres ».

Le but de ces incarnations est de nous faire gravir les échelons, pour un jour nous faire atteindre et retrouver les plus hauts sommets de l’amour inconditionnel et de la spiritualité.

En réalité, nous ne faisons que redécouvrir notre vraie nature divine, avec l’expérience acquise de la vie sur Terre, dans le monde de la matière.

Cela nous aura servi à grandir et à nous dépasser pour pouvoir encore gravir d’autres échelons de Lumière.

Tout est juste. Toutes les situations que nous vivons, qu’elles nous paraissent bonnes ou mauvaises, nous permettent de nous élever.

Voici les coordonnées d’Eric Giverne : Le mas
de Caulet Lacoste, 46.100 Cambes.

Tél : 06 08 85 10 54.

Voici, sur le même thème et racontées par Gisèle, des perturbations vécues dans une maison.

Faits troublants chez une amie.

L’histoire que m’a racontée mon amie Elise m’a quelque peu troublée et à raison.

Alors que nous dinions entre amies sur sa terrasse, sa fille a entendu japper leur petit chien ; en fait il était enfermé dans le couloir de l’appartement menant aux chambres, alors que cette porte est toujours laissée ouverte et qu’il n’y avait aucun courant d’air.
Elise a profité de ce fait étrange pour me dire que depuis qu’elle habitait ce logement, des choses particulières se produisaient.
La liste serait trop longue pour les citer toutes.
Entre autres, sa fille s’était réveillée une nuit et avait aperçu une forme noire au pied de son lit.
Elise elle-même a entendu des bruits de pas dans l’appartement, à plusieurs reprises.
Et horreur, son petit chien laissé seul à la maison, a été trouvé à son retour avec une solide entaille dans les coussinets de sa patte alors que rien ne trainait au sol qui aurait pu occasionner cet accident…

Ayant subi une tentative de cambriolage, une vidéo surveillance avait été placée sur la petite terrasse arrière.
Celle-ci se déclenche au moindre mouvement et elle reçoit aussitôt les photos sur sa messagerie.
La plupart du temps ce sont les arbustes dont le feuillage bouge à cause du vent.
Jusqu’ à ce que des photos inhabituelles apparaissent.
Je vous les livre comme elle me les a montrées.

Après avoir cherché des explications rationnelles, nous sommes toujours aussi perplexes.
La forme est un peu grande pour un papillon de nuit, pas d’araignée dans la caméra et pas de justification technique trouvée après investigations faites par un photographe professionnel.
Pareillement pour les autres photos aux formes différentes (style escalier ou autres).

J’ai tenté de les rassurer en leur demandant de parler à cet esprit, -au cas où cette image représente un esprit dans le trouble-, et de lui expliquer que sa place n’était plus ici.
Je leur ai demandé de l’encourager à suivre son guide.
J’espère que cette petite famille retrouvera la sérénité.
L’avenir le dira…
Voilà quelques photos à l’appui.
J’ai pensé que ceci pourrait vous intéresser et cadrait bien avec l’article du passeur d’âme.

Gisèle,