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Voici le récit de notre épreuve douloureuse et cependant, tellement merveilleuse.

En avril 1999, notre bébé soleil, Margaux, vient agrandir la famille. Petite dernière, si désirée, chérie par ses frères de 9 et 6 ans.

C’est le bonheur jusqu’au jour où….allant la chercher, dans son berceau, je la découvre sans vie. C’est l’horreur, l’incompréhension.
Nous sommes le 2 septembre, Margaux n’avait pas 5 mois. S’ensuivent, alors, toutes ces questions sans réponse, le sentiment intense de culpabilité, la révolte.

Puis, grâce à l’amour et l’affection de ma famille, de mes proches, la tristesse se dissipe un peu. La vie reprend son cours, ponctuée de « hauts et de bas ».
Le monde n’a pas changé. Seul, notre regard sur celui-ci, a changé.
Par période, Margaux me manque. Dans le vide, je la devine, rentrant à l’école maternelle, jouant avec ses frères, ses cousins et cousines. Serait-elle grande ? Ses cheveux ? Clairs ? Ondulés ? A qui ressemblerait-elle ?

Les années passent jusqu’à ce mercredi de mars 2006, où un « flash » défile devant mes yeux. Je suis au volant de ma voiture, concentrée sur la route à parcourir. L’espace d’un très court instant, l’image nette défile devant mes yeux.
« Je nous vois de dos, Margaux et moi, nous tenant par la main. Nous sommes à la plage et les vagues viennent nous fouetter les pieds. Margaux a de longs cheveux foncés, qui flottent au vent et paraît avoir 6 ou 7 ans.
Le soleil brille, le ciel est azur. Il fait beau, il fait chaud, on est bien… »

Que se passe-t-il ? Ai-je rêvé ?
Mais non, ce que je vis est bien réel et m’envahit d’une plénitude indescriptible qui m’enveloppera plusieurs semaines. Une joie de vivre, communicative, transparaîtra.
Je suis littéralement transportée.
Merci Margaux, pour ce coucou. Je t’aime.

Depuis, que de signes envoyés de sa part. Tous ces phénomènes m’ont amenée à me documenter énormément. Dans les méandres de mes découvertes, l’Abbé Jean Martin me sera d’un grand réconfort. Il me certifiera que je n’ai pas rêvé et que l’au-delà s’est manifesté.

Aussi, par le biais de la TCI, voici quelques messages transmis par Margaux :
-Oui, je vais bien ! Je m’élève, m’élève.
-Compte sur moi. Je l’ai dit !
-Ne doute pas de l’aide.
-Je suis là, tout près de toi.
-Je le dis : j’ai la paix.

Et aussi, quelques extraits reçus en écriture inspirée après une TCI :
-Oui, je suis profondément en paix, car le jour de mon départ, j’étais déjà pure et disponible, avec mes yeux qui voyaient l’invisible.
…je vais vers où tu vas et je te le dis : ne crains rien ! Papa aussi doit être bien, avec tout çà.
…je vais m’alimenter à la source de l’amour et de la sagesse.
-Soyez-vous même en paix, c’est mon plus cher désir.

Qu’il est apaisant de la savoir bien là-haut !

Par ses manifestations en tous genres, Margaux m’amène à ouvrir, toujours plus grand mon cœur. Je me sens, intuitivement, appelée vers l’Autre, à l’aider, l’écouter, l’apaiser….selon mes limites. Ma foi s’en trouve nettement renforcée.

Merci Margaux, d’être là où tu es. Moi aussi, j’irai là où tu me guides. Tu es ma force et ma lumière !

Puisse ce petit texte vous assurer qu’au-delà du visible, du palpable, un monde d’amour et de lumière évolue et nous entoure.
C’est certain, pour moi, la mort est le passage vers un monde meilleur…

Si je peux vous apporter un peu de réconfort, je suis à votre disposition dans la mesure de mes moyens.

Bien à vous.

Geneviève,

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