Bonjour Gisèle, bonjour Nicole,  

Je pratique aussi la Tci depuis le départ de mon jeune filleul Thierry, parti à 26 ans des suites du sida. J’ai trouvé de bons conseils sur votre site. 

Je voudrais à mon tour vous faire part de mon expérience. Après la lecture de livres traitant du sujet, j’ai tenté de communiquer avec Thierry environ un an et demi après son décès. En vain pendant un mois et puis le premier message, pas très audible il est vrai, est arrivé.

Mais j’ai immédiatement reconnu sa façon de parler et son timbre de voix. Depuis, j’en ai reçu une bonne centaine, que je conserve précieusement, après les avoir fait écouter à la famille.

J’ai remarqué, dans ma pratique, que les messages passaient mal lors de mauvaises conditions atmosphériques mais j’ai remarqué par contre, -est-ce un hasard ?- qu’ils étaient particulièrement clairs à l’arrivée de la pleine lune, pour devenir quasi-inexistants pendant la dizaine de jours qui suit… 

J’ai tenté une Tci avec un dictaphone numérique, sans résultat. La meilleure méthode, pour moi, semble un magnétophone classique muni tout de même d’un micro extérieur (le micro intégré est insuffisant). Je voulais juste vous adresser ce petit commentaire « technique ».  

Il va sans dire que l’état d’esprit et le but de ces essais ne doivent s’inspirer que de l’amour et ne se faire qu’avec des aimés que nous avons bien connus, ainsi que vous le dites si bien sur votre site, c’est la raison pour laquelle je n’y reviendrai pas. 

Le seul petit point sur lequel j’aimerais que vous puissiez revenir –en tout cas pour les futurs messages que j’espère vous nous ferez partager- est le contexte de vos questions, même si je comprends qu’elles puissent être d’ordre privé, c’est tellement plus « parlant » lorsque l’on comprend le pourquoi des réponses. 

Bien à vous,

  Sylvie,